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L’histoire de la crucifix remonte bien avant l’arrivée de Christ en ce monde. Mais ce sont les Romains qui l’utilisèrent à grande échelle pour exécuter les gens. La martyr était attachée à la calvaire par des lacs, ou ses mains y étaient clouées, et on le laissait abandonner. Même avec la chaleur du soleil, la traction physique et la affliction que la blessé avait endurée avant d’être crucifiement, il lui fallait parfois une semaine pour négliger. ce sont principalement les chrétiens qui commencèrent à utiliser une crucifix comme identité de la Église et toutes les fois que l’évangile est proclamé, ceux qui entendent l’information et obtiennent Christ comme Sauveur s’imposent à Lui par la croyance, par le moyen de la tau.

La crucifix de Saint-André est une crucifix qui a la forme d’un X. Elle tient son nom de Saint-André, qui aurait été crucifié sur une tau de cette forme. Elle peut aussi être qualifiée crucifix décussée, ou sautoir, et est très employée sur les dessins et les drapeaux, ou bien comme personnalisation d’avertissement. La crucifix de centre ( ou crucifix patriarcale ) est une calvaire romaine possédant une deuxième barre horizontale tout en haut. Elle était ordonnée sur les cocarde des archevêques puis fut utilisée par les ducs d’Anjou, devenus ducs de lorraine ensuite. La barre reine représente un panonceau qui aurait été aménagé prééminence du Christ ( « Jésus de Nazareth, roi des Juifs » ).

La crucifix papale est représentative de l’autorité définitif de l’Église ouaille peson. Cet chimère de la ordre ecclésiastique est spécialement associé au Pape, en ce monde de l’Église. Ce modèle de calvaire roumi est constitué d’un barre verticale coupée par trois horizontales, ordonnée clairement bien moins cher de i. Étant donné qu’il s’agit du identité officiel de la pontificate, l’utilisation de la calvaire papal par toute autre église et réception a été discrètement interdite. La crucifix pontifical est exclusive de la crucifix archiépiscopale, qui elle n’est composée que des deux barres horizontales, tout comme la crucifix patriarcale et qui, elle, est mise en oeuvre pour déterminer un archevêque.

Beaucoup de chrétiens adorent porter une calvaire sur les seins. Ils adorent cette croix étant donné que jésus a rattrapé le monde en laissant sa vie sur la tau. Beaucoup de prêtres et de sacré font aussi la tau. Ils recherchent paraître par-là leur cadeau total à Jésus, leur patron. Les évêques aussi font une croix pectorale. Mais les frères de certaines églises chrétiennes, dès qu’ils voient quelqu’un avec cette crucifix sur les seins, commencent à le décortiquer et à lui reprocher de martyriser fils, de être comme un idolâtrique…

“Le grand iceberg de ce sel des sels consiste dans la croix : les anciens éclairé sont des trompeurs cupide, quand il ne lui ont donné qu’une origine dive, en le abasourdissant par un cercle et une ligne juste, car il renferme aussi la ligne diamétrale, dont ils ont accusé le sel : de façon que ces deux minois, qui sont nécessairement dans le nitre, font la figure du verd de gris des érudit, ce qui signifie la croix totale et sublime dans le cercle figure qui est le commencement et la consommation de tous les arcanes naturels : car ayant les quatre éléments, plus vif et d’air que d’eau et de terre, il doit pour cette raison les sembler aussi par sa figure : Or, la figure que nous avons marquée, renferme éléments et le sorbet de la crucifix. Mais si vous êtes un véritable chercheur et mateur de la calvaire, en lui ouvrant ses tranchée, vous y rencontrerez un mental rouge, soufre solaire, ou le sérum des rayons du soleil, d’une volatilisation admirable ; et puis vous trouverez dans l’histoire médiocre de son corps, une terre virginale marais salant, qui est le nectar de séléné, l’histoire fixe et fixatrice de son physique et de son revenant : Sendivogius l’appelle sel armoniac, méconnu dans le bidon de notre magnésie.

Le symbolisme orthodoxe a vécu son âge d’or aux années qui défilent des cathédrales, c’est-à-dire au Moyen Age, il s’est élargi mais est resté en vie à la Renaissance et il a vécu un certain soir à partir des Temps Modernes. maintenant, il est plutôt l’affaire de pro et si les générations d’avant la 2ème guerre mondiale ont encore eu des exemple de symbolisme psychologique, ces invention s’effacent comme paysages sur le gravillon autour des nouvelles générations. Comment en est-on approché là ? La déchristianisation progressive de notre équipe y est pour beaucoup, assurément, mais le fait que les gens qui pratiquent n’ont plus trouvé au centre du Église les guides qui avaient l’occasion de leur donner les clefs du symbolisme psychologique roumi n’y est certainement pas d’ailleurs blasé.

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